Utada Yuko [prof de philo]

Nom: Utada

Prénom: Yuko

Surnom(s): /

Sexe: Féminin

Age: 23 ans ô_ô S’t’une jeune prof ô_ô

Orientation sexuelle: Hetero

Matière: Philosophie

Histoire: Monsieur le directeur,

Nous sommes tous conscient que l’être humain n’est plus être humain s’il est mort. Comme nous sommes tous conscient aussi que cette phrase est totalement inutile dans cette lettre. Mais après tout y’a t’il des choses réellement utile dans ce monde ? Oui, c’est vrai, il y en a, mais je vous avouerais que ceci m’importe peu puisque la matière que je souhaiterais enseigner dans votre très réputé lycée est la philosophie. Et nous savons tous que la philosophie consiste en fait a parler de chose stupidement inutile. Et c’est d’ailleurs ce qui donne son charme a cette matière sur ce point j’espère que nous sommes d’accord. Et imaginons de toute façon que nous ne le soyons pas, je suis la seule et unique prof de philo donc je pense que je peux exiger le fait d’avoir raison. La raison d’ailleurs, parlons en. Ma seule raison de vivre c’est l’amour que je voue a mon fils Hiro. Enfin, quand je dit fils, ne vous inquiétez surtout pas, je ne vous apporterais pas en plus de ma personne un fils. Quoi que d’une certaine manière si, mais autant que vous le sachiez tout de suite, mon fils est en fait un de ses poupons que l’ont peut trouver dans les magasins tel que King jouet. Vous trouvez peut être ceci ridicule ? Moi aussi, mais comprenez que pour moi Hiro n’est pas une simple poupée, je le considère avant tout comme mon fils.

Bref, venons en au fait. Si toutefois il y a un fait ? Il me semble avoir lu quelque part que pour que vous puissiez m’accepter je doit en priorité vous racontez ma vie. Je n’en vois personnellement pas l’utilité mais je vais le faire tout de même car le sujet que je suis en est un que j’adore traité ! Bref, a ma naissance je n’avais que 0 ans. C’est peut me direz vous, je vous rassurerais en vous disant qu’il vous est certainement arrivez la même chose. Bref, a l’époque de ce 0 an j’étais encore très jeune. Et je n’était donc pas consciente de ce qu’il m’arrivais. Oui, j’étais en train de vivre. Stupide déduction me direz vous. Mais au contraire, vivre est une chance pour nous tous, sans vouloir vous livrez un cours d’éducation sexuelle je rappellerais juste le fait qu’il y en avait des milliers comme nous qui aurait adoré atteindre en premier l’ovule de madame. Il se fut que cette course la, c’est moi qui l’est remporté. A l’époque ou je n’étais encore que têtard. Mais j’ai l’impression de m’écartez du sujet et cela ma dérange car peut être que vous vous fichez totalement de l’étape fœtus de ma personne.

J’avais donc zéro an quand je sortie du corps de ma mère. Je grandis en passant de landau en landau et de poussettes en poussettes. Je ne pourrais vous racontez les détails de ce passage ci de ma vie car je ne m’en souviens plus, et je préfère supposer qu’il n’influencerais pas votre décision quand au post que je vous demande de me céder. Toujours est il que seule dans ces poussettes je déprimais et qu’a deux ans je fis ma première tentative de suicide. Je sautais du haut de ma poussettes. J’atterrissais finalement sur la tête ce qui me valut un allé retour jusqu'à l’hôpital. Premier traumatisme crânien. Il n’empêche que l’on ne me replaça plus dans une poussettes et que je prévoyais de me suicider a chaque fois que j’en avais marre de quelque chose. Naturellement, je ne voulais pas mourir de mes suicide, je voulais juste que les gens s’inquiète pour moi. Je voulais et je devint être le centre d’attention d’un maximum de personne. A commencer par mes parents qui décidèrent de ne plus jamais me laisser seule. Heureusement, a 3 ans je fit mes premiers pas et je décidais de remplacer mes suicides par des fugues. La première que je fis c’était a 3 ans et demi, mes parents parlait de chose de grand dans la cuisine tandis que moi il m’avait posé sur le sol avec des jouets bizarre qui s’assemblait. Seulement c’était pas mon truc moi, ni la conversation de mes parents ni les jouets ne m’intéressait. Je décidais donc de fuguer jusqu'à ma chambre. Je m’en tirais finalement avec trois fessée.

Mais je n’eu pas envie de me rebeller toute ma vie je vous rassure, a partir de 5 ans, je décidais d’être pacifiste, anti suicide et anti fugues. Je devenait donc relativement mature. Je savais compter grâce a mes très nombreux doigts. Pour ne rien vous cacher ils étaient dix en tout. Grâce a ma classe de CP j’appris ensuite a écrire, ce qui fut mon premier passe temps de l’époque. Je passais le plus clair de mon temps a écrire. Certes, je n’écrivait pas les vers de la fontaine et encore moins les textes de Molière, mais j’écrivais. Mes parents étaient fiers de moi et aimait bien s’en venter auprès de leurs amis.

A la fin de ma primaire, je savais déjà tout faire. Je savais compter jusqu'à l’infini (soit jusqu'à 100), dire l’alphabet a voix haute le plus vite possible, additionner, soustraire, multiplier et diviser des nombres. Mais la matière dans laquelle j’excellait restait l’écriture. Je décidais donc d’écrire mon premier livre, celui ci s’intitulait « Babar », en fait, j’avais juste fait un plagiat. Mais j’était très contente quand même, je l’avais décidé, c’était ma vocation.

Lors de mon entrée au collège l’écriture occupa dans ma tête une place encore plus grande qu’elle ne l’était. Ceci grâce a ma prof de français que j’admirais énormément. D’abord elle était calme, ensuite elle était belle, et pour couronner le tout elle était, m’avait elle dit a l’époque, philosophe. J’ignorais totalement le sens de ce mot a cette époque mais j’étais persuadé que être philosophe était quelque chose de génialissime. C’est pourquoi je décidais a mon tour de dire aux autres que j’étais philosophe. Ce qui me rendit beaucoup plus intelligente aux yeux de tous. Je me rendit compte de mon erreur quand ma prof de français me demandait de lui montrer mes textes. Je ne savais pas de quoi elle pouvait parler et je descendis directement dans son estime quand elle compris que j’avais menti. Vous me direz que drame il n’y a pas. Mais pour moi cette prof était très importante, ce que j’éprouvais pour elle ne se résumait pas a de l’admiration. C’était comme de l’amour. Je n’en parla jamais a personne puisque de toute façon, la prof en question décéda dans l’année. Je décidais donc de ne plus jamais être amoureuse d’une femme. Dorénavant, j’aimais les hommes, seulement les hommes.

Mais mon premier amoureux je le rencontra au lycée. Lors de ma première année. Et c’est la aussi que je devint une véritable philosophe. J’écrivais des textes parlant de tout et de rien pendant des lignes et des lignes, des pages et des pages. Le tout et le rien m’inspirait énormément et c’est lorsque j’abordais ma troisième année de lycée que ma prof de philosophie me fit remarquer que j’avais du talent. A vrai dire je m’en doutais et il n’étais pas rare que je m’épate. Je préférais ne pas le dire, je n’avait pas envie de jouer les prétentieuses. Toujours est il qu’après toute mes années d’écoles passées je me lancais dans des études d’enseignements. Etude que j’ai terminé cette année. J’ai eu un diplôme et j’en suis maintenant la. A vous demander de m’offrir le premier réel emploi de ma vie.

J’espère que cette lettre vous convaincra et que vous m’accepterez finalement en tant que professeur de philosophie. Je vous souhaite sur ce une Bonne santé, une bonne vie amoureuse et n’oubliez pas que le sexe c’est la santé. Ca n’est peut être pas le genre de chose qui s’écrit sur une lettre de motivation. Mais je n’ai pas de blanc correcteur et l’encre noire ne s’efface pas avec les effaceur. Comprenez ma peine et oubliez la deuxième phrase de ce paragraphe.

Embauchez moi vite ! Paillez moi bien et je vous promet une efficacité et une rigueur dans mon travail ! (nous savons tous que tout travail mérite salaire et que tout bon travail mérite excellent salaire !)

Yuko Utada.

Caractère: Yuko est une personne très excentrique et ravagée. Elle passe sont temps a parler a son fils Hiro, qui n’est en fait qu’un poupon en plastique, elle lui raconte tout de sa vie et lui a déjà dédié tout son héritage. Yuko est aussi une personne très critique quand a la société japonaise, elle trouver, pour cité l’une de ses phrase, que le Japon c’est « Une société de coincé ». Elle se qu’elle aime avant tout c’est s’amuser, faire ce qu’elle veut, être libre dans un sens. Elle passe aussi énormément de temps a écrire logiquement. Elle ne nierait pas le fait que la grande majorité de ses textes est porté sur le sexe, la jouissance etc… Bref, Yuko est une femme sans tabou qui aime parler en général…

Pour ce qui est de ces relations sociales elle a tendance a bien s’entendre avec tout le monde, elle représente pour beaucoup de ses amis la joie de vivre. Elle voue aussi un amour particulier a l’homme et ses attributs. Ayant déjà eu énormément d’aventures le sexe et l’amour sont devenus des mots indispensable dans sa vie.

Physique: Yuko est une très belle femme. Elle a de courts cheveux noirs et un visage très bien dessiné qui a tendance a en mettre plus d’un le cul par terre. Ce qui procure beaucoup de plaisir a madame. Son corps est bien sculpté, elle a des rondeurs bien placées et est comme nous pouvons vulgairement le dire, une femme que l’homme considérerait comme « étant bonne ». Elle a un style très particulier qui fait tout simplement ressortir sont principal très de personnalité qu’est la folie. Bref, pour tout les hommes viril intéressé elle est seule en ce moment u_u.

Relations:

Amis -> Pas encore.

Famille -> Mère ~> Yukiko / Père ~> Kaito.

Ennemis -> pas encore non plus.

Signe(s) particulier(s): L’a un tatouage d’étoile sur la fesse gauche :p

Autres(s): Aimez la è__é.

Perso sur l'avatar: Hikaru Utada.

Bienvenue à toi prof de philo complètement barg et ravagée xD J'en connais déjà qui vont t'aimer
Comme ta fiche m'a fait rire xD Enfin voilà, félicitation, j'aime cette prof de philosophie xD Donc le directeur accepte évidemment que tu occupes ce poste, on dira que c'est un certain sous-directeur qui aura examiné le dossier

Bon RP ^__^ Et amuse-toi bien