Shirokin
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Shirokin High School
 
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 Shizuka Okizawa (surveillante)

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Shizuka Okizawa
Surveillant(e)
Shizuka Okizawa


Féminin Nombre de messages : 8
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Age du personnage : 24 ans
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MessageSujet: Shizuka Okizawa (surveillante)   Shizuka Okizawa (surveillante) Icon_minitimeMar 5 Sep - 17:41

Nom: Okizawa

Prénom: Shizuka

Surnom(s): Il faut mieux l’appeler par son nom v__v

Sexe: Fille jusqu’à présent O_O

Age: 24 ans

Orientation sexuelle:
Hétéro.

Emploi: Surveillante è__é

Histoire: (Minimum 20 lignes) : Née de parents incontestablement pas faits pour s’aimer, Suzume fut remise dès la naissance à un foyer de la préfecture de Kanagawa ou elle y passa l’ensemble de son enfance. Personne ni même la directrice de l’établissement n’avait d’indice au sujet de sa famille d’origine. Aussitôt qu’elle le put, Suzume devint turbulente, aussi petite soit-elle. Elle n’était pas du genre à rester sagement dans son berceau à téter le biberon bien chaud que lui avait gentiment apporté les nourrices mais plutôt de ceux qui se cramponnent violemment aux barreaux en braillant aussi fort que leur petit corps leur permettent – était-ce peut-être une des raisons pour lesquelles personne ne se bousculait pour l’adopter. Ainsi elle devint peu à peu la bête noire du personnel de l’orphelinat, c’était tout juste si on ne tirait pas à la courte paille pour désigner celui ou celle qui aurait la chance de s’en occuper. Le phénomène s’aggrava en grandissant : indisciplinée à l’école, infernale au foyer, à tout juste 5 ans, elle rencontrait le conseil de discipline pour la première fois. Un conseil de professeurs des écoles improvisé qui pour la plupart vivaient un tel évènement pour la première fois. La petite Suzume prenait un plaisir fous à vider ses pots de peintures dans le lits de ses congénères ou à se mesurer à la bagarre avec ses camarades, c’était pour elle un vrai bonheur de terrasser les garçons... Aussi apprit-elle très vite la panoplie de mots vilains pour qualifier une prostituée et se mise à en bombarder ses maîtresses sans vraiment savoir ce que tout cela signifiait. Mieux fallait-il ne pas se limiter à ses couettes et à son visage d’ange, car la petite fille avait des ressources cachées.

Refusée par tout les collèges, elle eut néanmoins la chance de tomber sur le jeune directeur au grand cœur d’un établissement qui ouvrait ses portes pour la première fois. Encore plein d’espoir, il assurait être capable de la changer radicalement dès la première année. Lui-même issu d’un orphelinat, il garantissait être capable de la comprendre et tout le baratin… De toute manière, son foyer n’avait plus vraiment le choix, et l’y casa avec une tout de même une maigre lueur d’espoir. Pas la peine de décrire pendant trois heures leur déception à tous, car Suzume gagnait en fourberie et en animosité chaque année. Look rebelle, attitude insoumise, ses professeurs se déchaînaient autant en classe que sur son carnet de note médiocre. Car par dessus le marché, Suzume n’aimait pas travailler, à vrai dire, elle n’aimait pas grand chose. Son seul plaisir c’était de se défouler sur ses camarades, ce qui lui permis d’obtenir une certaine notoriété envers les mauvais élèves. Ainsi, on pourra dire qu’elle se fit ses premiers « amis » vers son entrée au lycée en rencontrant d’autres jeunes plus ou moins comme elle. Cependant, la rencontre n’eut rien de très chaleureux, ces garçons, pour la plupart, n’avaient rien d’enfants de cœurs et ajoutez à cela le caractère mauvais de Suzume, et vous obtenez une bagarre générale qui lui valut une semaine de vacances supplémentaires et un oeil au beurre noir. Ensemble il s’amusèrent à terroriser les rares nouveaux élèves, certains rackettaient, d’autres maintenaient leur autorité à la méthode brutale… Il n’était pas aisé de calmer cette petite bande qui causaient de sérieux problèmes à l’établissement, notamment du côté des parents d’élèves qui ne cessaient plus d’harceler le pauvre directeur complètement dépassé par les évènements.

Mais il y avait bien un garçon… non, pas un garçon dont Suzume était amoureuse, pourtant, elle a toujours été très séduisante et se faire draguer arrivait parfois, mais uniquement par les membres les plus courageux de son « groupe », les autres ayant trop peur. D’ailleurs, elle avait déjà essayée quelques fois, l’histoire d’un soir, juste par curiosité, car le sentiment amoureux n’était pas celui qui prédominait chez elle.
Donc ce garçon avait pour activité de vendre des substances illicites, histoire de se faire de l’argent de poche paraît-il. Mais lorsque Suzume s’intéressa au problème et lui demanda d’ou provenaient ces produits, on lui répondit que ses parents étaient de la mafias japonaises. N’importe qui aurait fait un bond en arrière, mais Suzume, elle, partit preneuse. Elle supplia le garçon de parler d’elle à ses parents afin d’entrer en contacte avec les Yakusas de son quartier. De toute façon, elle était persuadée de n’arriver à rien dans la vie, elle avait redoublé deux fois étant plus jeune, peu avant le lycée et on avait commencé à la laisser passer d’office pour qu’elle quitte l’établissement le plus vite possible.

Méfiant, les parents en question demandèrent à la rencontrer. A vrai dire, il n’avait pas un rôle des plus importants, mais eux pourraient peut être la faire rentrer même en tant que « Chinpira ». Elle discuta un peu avec eux, ils avaient quelques difficultés à comprendre son envie d’entrer dans l’univers du crime, m’enfin… elle obtint quand même un numéro à Yokohama, c’était celui d’une entreprise de produits plus ou moins contrefaits. Elle fut reçu par un homme de petite taille, la quarantaine, son crâne était rongé par la calvitie, et son ventre rond comme un ballon, rien de très attirant. Pourtant cet homme la agissait en Sokaiya, autrement dit, un racketteur professionnel ultra-violent, spécialisé dans le vol des entreprises et de l’extorsion de fonds. Finalement ce ne fut pas si dure de rentrer chez les grands Yakusas… Officiellement, elle travaillait dans son entreprise mais à des fins qui n’étaient pas mentionnée dans son C.V. Le meilleur dans cette histoire, c’est qu’elle passa directement au rang de Jiageya, autrement dit, des spécialistes des disputes entre voisins, qui agissent en tant que médiateurs ou punisseurs lorsque la situation devient trop compliquée pour utiliser des moyens légaux ou par honte de devenir la risée du voisinage en faisant appel à la police. C’était un grade très prisé par les simples Chinpira et par les Yakusas de moindre rang.

A vrai dire, Suzume ne comprit pas tout de suite pourquoi cet homme semblait miser tant d’espoir en elle, ce qu’elle sait, c’est qu’elle y a cru…
Elle ne sait pas non plus pourquoi elle a tant tenue à s’engouffrer dans cette galère, une envie qui vous prends, un rêve de gamin inexpliqué, celui de devenir la reine de la cour de récré…

Suzume fut amenée à rencontrer d’autres Yakusas comme elle, certains, des gens qu’elle n’aurait jamais soupçonnée. Elle dut intervenir sur de petites affaires de voisinages, les habitants de son quartier apprirent à connaître son visage, et progressivement baissèrent la vue devant elle. Elle sentait qu’elle avait du pouvoir, elle avait l’impression d’être devenue quelqu’un. A présent, elle n’était plus la garce qui décapitait les poupées de ses camarades, elle était tellement plus… Sauf que Suzume n’avait jamais comprit que c’était dangereux de jouer avec le feu, et que si on y touche, on se brûle.
La jeune fille prit vite de l’assurance sur le terrain, c’était facile maintenant pour elle, la plupart du temps les gens tremblaient dès qu’elle franchissait la porte. Bien sur, recevoir des yakusas chez soi, c’est jamais bon signe.

Un jour ordinaire, mission ordinaire, Suzume avait a régler un conflit on ne peut plus banale. Sauf que cette fois il y eu un imprévu… Elle et un autre, avaient pour ordre de calmer un homme qui posait des soucis à tout le voisinage. A peine entrés que l’individu qu’ils ne pensaient pas violent lâcha ces chiens sur la première personne qu’il vit pénétrer dans sa maison. Shizuka , la dernière à rentrer se retrouva seule face à un vieil homme qui brandissait un fusil, les appels au secours déchirant de son collègue en toile de fond. Elle poussa un hurlement de stupéfaction, dégaina son arme qui jusqu’à présent n’avait eu qu’une utilité dissuasive et tira… Mais était-elle vraiment capable de tuer un vieil homme ? Voulait-elle devenir la reine au prix de vies ?



Dernière édition par le Mar 5 Sep - 17:51, édité 3 fois
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Shizuka Okizawa
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Shizuka Okizawa


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MessageSujet: Re: Shizuka Okizawa (surveillante)   Shizuka Okizawa (surveillante) Icon_minitimeMar 5 Sep - 17:41



Elle semblait dans un autre monde, elle sentait la froideur des carreaux sur sa joue et la chaleur du sang sur ses mains. Mais était-ce son sang ? Non, il y avait eu un coup de feu, l’homme devait être mort, Suzume ne pouvait pas finir sa carrière sur un échec, et qui plus est, tuée par un vieillard. Petit à petit ses sens se remirent en route, elle entendit clairement des gens autours d’elle « Ils sont tous morts ? », « Pas possible ,on dirait des Yakusas ! », « Une fusillade dans notre quartier ? ». Mais la douleur était trop forte, si bien qu’elle reprit conscience au lendemain, dans un hôpital de Yokohama.

Suzume avait été frappée d’une balle à l’épaule gauche laquelle l’aurait fait s’assommer en tombant sur le carrelage. Elle découvrit aussi un mot, à son intention :


Code:
Ma petite Suzume
J’espère que tu n’es pas trop abîmée, la scène a du être effroyable, presque dévoré par des chiens… pauvre garçon. Bref, Bon travail, mission accomplie pour toi Suzume ! L’homme est décédé d’une balle bien profond dans son petit cœur. C’est le métier qui rentre ça !
Passe me voir à l’occasion, tu dois être bouleversée, j’ai une récompense pour toi.


Bien qu’elle n’avait pas la moindre idée de qui était l’autre yakusa affecté à cette mission, la vision de cet homme dévoré par des chiens l’écœura. Elle avait menée à bien sa mission, pourtant elle ne se sentait pas en tirer une grande satisfaction. Son collègue était mort, elle avait tuer un pauvre homme, et surtout, elle avait faillit y passer. C’est sur, c’était pas cool, m’enfin, elle s’en remit aussi vite que sa blessure.

Dès qu’elle fut remise, Suzume se rendit chez son « patron » comme une simple employée. Quelque part elle eu la sensation d’être coupée d’une certaine indépendance, comme si elle avait des comptes à rendre à quelqu’un. Malgré cela, cet homme avait bien une puissante influence sur elle et sur l’ensemble de l’organisation mafieuse qu’elle côtoyait. Toutefois, elle ne connaissait rien de son nom, ni de sa personne, enfin… il en avait bien un, mais un faux. Il y avait un garde à l’entrée du bâtiment réservé à monsieur Tokugawa, pourtant, il ne lui lança à peine un regard. Il devait être informé de sa visite car la lourde porte s’ouvrit devant elle, sans qu’elle ait à prononcer son nom. Elle se referma d’ailleurs aussi vite derrière elle.

Monsieur Tokugawa se tenait face à l’entrée, son postérieur parfaitement bien enfoncé au fond de son grand fauteuil en cuir noir. De sa main droite, il examinait le contenu de son ordinateur portable tandis que les ongles épais de sa main gauche crissaient comme une craie sur un tableau au-dessus de la large table en verre qui lui servait de bureau. D’un geste, il l’invita à rentrer et à s’asseoir en face de lui. Il lui lança furtivement un regard, un sourire déplacé au coin des lèvres, puis referma brutalement l’écran de son ordinateur. Tokugawa se leva, arborant fièrement son nouveau costume très élégant. Il avait tout les atours d’un puissant chef d’entreprise, avec montre et cravate de marque, ses cheveux disciplinés et bien peignés présentaient à leur coté droit une raie protocolaire. Tout de suite, il imposait le respect, mais Suzume était digne, alors que la plupart des humains normalement constitués se seraient renfoncés jusqu’au cou dans leur siège, elle, restait droite, irréprochable. Elle le fixait du regard, jouait, rivalisait, déstabilisait. Mais Tokugawa aimait les jeux dangereux, il se saisit d’un de ses katanas de collection qui ornait son bureau et fit délicatement émerger la lame de son fourreaux. A l’aide de son sabre, il se mit à caresser subtilement la jeune fille, d’abord le visage, le cou, puis doucement le reste du corps. C’est alors qu’il s’empara violemment de son bras et la plaqua contre le mur. Elle le faisait déjà mourir d’envie, et il savait qu’elle serait à lui. Suzume n’avait plus rien à dire, ni rien à tenter car déjà la pointe du katana faisait sauter un par un ses boutons de chemisier.

Elle fut libre dès que Takugawa eut terminé de prendre du bon temps. Elle était même libre de partir lui avait-il dit alors que d’ordinaire, on ne part pas comme ça de chez les yakusas. Elle se sentait déshonorée, on avait abusé d’elle, pas seulement physiquement comme elle venait de le vivre, mais moralement. On ne l’avait pas jugée comme celle qu’elle voulait être et encore moins comme celle qu’elle avait eu l’impression d’être. Maintenant elle était à la rue, il fallait qu’elle trouve quelque chose et vite. Elle rassembla ses économies durement méritées, et trouva rapidement un petit studio à Yokohama, un vrai coup de chance ! Enfin à ce prix là c’était une chance dans une ville ou le prix de l’immobilier flambe vite. Peut-être parce qu’elle savait négocier, après tout, elle venait tout juste de quitter la mafia japonaise, pourquoi le crier sur tout les toits ? Elle pouvait très bien y être encore et y maintenir de très bonnes relations… Encore, si elle voulait garder son studio, même minable, il lui fallait un emploi.

C’était un lundi lorsqu’elle se présenta au bureau de Mr le Directeur. Un peu dénaturée par ses vêtements de travail, elle avait décidée de lancer une opération de la dernière chance pour trouver un boulot… encore si elle ne se transformait pas en opération séduction. Petit tailleur sagement boutonné par dessus un chemisier blanc, et jupe jusqu’aux genoux. Ses premiers pas furent difficiles, avec des chaussures à talons et une jupe trop serrée, il lui restait peu de place pour se mouvoir aisément. Néanmoins, le plus dur étant fait (gravir les deux étages), elle fut plus à l’aise une fois assise pour tromper le directeur. Son C.V n’avait rien d’époustouflant, en fait, il était plutôt vite lu. Elle n’avait aucun diplôme, juste un (faux) travail d’ouvrière très bien payée dans une entreprise reconnue mafieuse. Elle posa sa candidature pour le poste de surveillante, être prof devait rapporter plus de sous mais il nécessitait des diplômes et puis, il y avait bien un travail de plongeuse, enfin quand même, elle n’était pas n’importe qui. Déjà que surveiller des mômes elle sentait que ça la saoulerait vite, mais alors nettoyer leurs gamelles fallait mieux pas y penser.
Elle sentait bien que le directeur n’était pas trop motivé, alors elle força les choses.

Tout en faisant mine de tousser, Suzumi croisa habilement sa jambe droite par dessus la gauche. En réalité la main qu’elle avait déposée sur sa poitrine avait détachée discrètement deux des boutons du haut de sa chemise. Elle simula un petit étouffement, forçant à faire lever le directeur. Tout en se courbant en avant, sa jupe était naturellement remontée au dessus de ses genoux, laissant entrevoir le haut brodé de ses collants. Elle se saisit d’un petit mouchoir blanc proprement plié au fond de la poche de sa veste en s’excusant mille fois. Le directeur lui proposa son aide pour se relever, Suzumi se saisit délicatement de la main droite, déposant sensuellement sa main gauche sur son épaule. Elle lui envoya un sourire aguichant en ajoutant sur le ton de la confidence : « A l’occasion, appelez moi, se serait un tel plaisir de dîner avec un homme aussi séduisant.»

Il avait son numéro, et d’après l’expression de son visage, elle comprit qu’elle le rappellerait. Désormais Suzumi s’appelait Shizuka, pour se préserver d’éventuelles poursuites des yakusas.


Caractère: (Minimum 5 lignes) Shizuka est une femme dont l’apparence froide est en accord avec son air hautain. Sa démarche non avare de mouvements superflus, est fière et assurée, d’un regard elle sait imposer le respect. Shizuka sait jouer de ses charmes et plaire aux hommes, rien de bien difficile avec sa plastique de combler ces êtres qui craquent tous pour la même chose. Solitaire, elle ne fait confiance qu’à elle-même. Son arrivé à Shirokin en tant que surveillante ne vient pas du font du cœur. Pour elle, sa présence n’est que temporaire. Il n’est d’ailleurs pas conseillé aux gentils élèves de jouer avec le feu au risque de s’y brûler.

Physique: (Minimum 5 lignes): Shizuka a tout les atours d’une femme attirante. Les traits de son visages sont fins et typés et son regard déstabilise à lui seul. Ses longs cheveux, colorés en mèches châtaignes semblent jouer avec le vent. De plus, sa taille est plutôt en accord avec sa personnalité. Elle est tout à fait du genre à se mettre en valeur et de celle que tout le monde regarde passer dans la rue. En somme, plutôt l’amante des hommes que l’amie des femmes. Mais attention, elle n’a rien d’une femme facile, mieux faut-il se méfier de ses airs attrayants, car c’est toujours Shizuka qui choisit.

Relations:

Amis -> /

Famille -> /

Ennemis -> Angelina Sanchez

Signe(s) particulier(s):Une cicatrice à l’épaule gauche

Autres(s): /

Perso sur l'avatar: Mika Nakashima
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Kazuya Hatano
Professeur d'Education Civique
Kazuya Hatano


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MessageSujet: Re: Shizuka Okizawa (surveillante)   Shizuka Okizawa (surveillante) Icon_minitimeMar 5 Sep - 17:55

Grrraouuuu ^o^

Bienvenue Okizawa-san

Je t'aime déjà, c'est vrai après tout jmen fiche si tu martyrises les élèves moi Razz. J'ai bien aimé ta fiche, c'est bien écrit alors j'étais bien dedans à la lecture. En bref, je te n'aime aussi lapinou Razz

Have fun, tu peux poster où tu veux ^___^
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MessageSujet: Re: Shizuka Okizawa (surveillante)   Shizuka Okizawa (surveillante) Icon_minitime

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