Arashi Miharu [élève 3ème année]

Nom: ARASHI (Signifiant « tempête » en japonais ^o^).

Prénom: Miharu.

Surnom(s): /

Sexe: Féminin.

Age: 17 ans.

Orientation sexuelle: Hetero.

Classe: 3eme année.

Histoire:

…Le bonheur des uns fais le malheur des autres…

Un cercle de petites filles, toute plus mignonnes les unes que les autres, est formé dans la cour de récréation des maternelles. Ces toutes petites demoiselles aux visages poupons et angéliques rient, parlent, jouent, gaiement… Innocemment…

« Saeeeee ! C'est qui la fille moche à lunettes la bas ?

- Elle, elle s’appelle Miharu, y faut pas l’aimer, elle est trop moche ! En plus son père il est mort ! »

Rire général. Les petites aux jolis yeux bridés sont amusé par la « moche a lunettes » en question… Cette petite fille, là bas, seule, dans le fond de la cour… Qui ne dit rien, ne joue pas, un regard presque éteint. Elle a peur des autres, qui se moquent d’elle, sans cesse… Elle les vois d’ailleurs se diriger vers elle, instinctivement, elle se recroqueville sur elle même, rentrant sa tête dans ses bras, elle ne veut pas les voir, pas les entendre…

Elle comprend que les fillettes sont devant elle quand l’une d’entre elle la frappent, sur l’épaule, puis sur les hanches. Mais elle ne dit rien, ne bronche pas, ne bouge pas… Elle ne lève pas la tête, elle ne veut pas les voir, surtout pas… Elle a honte, étant obligé de prendre le rôle de « coupable de sa vue » plutôt que celui de « victime »... Oui, c’est de sa faute si elle porte des lunettes. Ses camarades ont raison de ne pas l’aimer, c’est normal tout ça… Elle n’est pas assez jolie, elle ne mériterait pas de s’amuser avec elles. Pourtant ça lui fait mal, et ce ne sont pas les coups qu’elle reçoit qui lui procure cette douleur …

« Bonjour madame la taupe ! Alors, toujours seule dans ton terrier ? »

Insulte d’enfant, insulte innocente, insulte blessante… Finalement l’institutrice frappe dans ses mains, rassemblant par ce seul geste tout les élèves de sa classe… Tous sauf une, tous sauf Miharu… Qui ne veut pas se montrer aux autres les yeux rouges, ses larmes a peine séchées sur ses joues… Sa fierté, malgré tout les coups qu’elle prend, reste présente. Et se montrer en train de pleurer lui ferait perdre sa dignité. La maîtresse ne l’a pas vu, elle est rentré, avec les élèves… Miharu s’en veut, oui, elle s’en veut car elle est moins belle, et qu’elle pleure tout le temps… sa mère l’a pourtant déjà grondé a ce sujet… Stupide sensibilité.

Deux ou trois minutes plus tard, elle se lèvera finalement, et, les yeux fixant le sol qu’elle ne regarder même pas, elle entrera dans la classe… Discrètement, espérant que personne ne la remarque…

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Si le comportement des autres élèves a son égard en maternel était déjà bien difficile a supporter pour Miharu, il ne sera que pire a partir de son entrée en 6ème. Oui, les filles, des le CP, ne se contenteront plus de quelques coups et insultes presque gentille, car il est tellement plus amusant de plonger la tête de son faire valoir dans un toilette plutôt que de lui donner de petits coup.

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Après une très douloureuse primaire a endurer. C’est le collège qui allait dorénavant ouvrir ses portes a Miharu. Et cette fois ci, il n’était pas question que son accueil se fasse a bras fermés. Apres avoir subit les pires humiliation, Miharu se sentait assez forte pour jeter a jamais sa sensibilité et devenir celle qu’elle rêvait d’être. L’amie de ces filles qui s’étaient tant moquer d’elle. Ca pourrait vous paraître stupide, rêver d’être amie avec les personnes qui vous ont les plus fait souffrir. Peut être même que ça l’est. Mais peu importe, elle savait qu’en se joignant a leur bande elle pourrait se faire apprécier par tout le monde.

Peut être me direz vous maintenant que, que ce soit ou non son rêve, Miharu n’avait pas plus de chance de plaire a ces demoiselle que les précédentes années. Sauf que pour son entrée au collège, Miharu décida de passez des lunettes aux lentilles… Grâce a ça, elle ne serait plus la fille différente que l’ont met a part, oui, dorénavant, elle serait comme tout le monde, pas d’originalité, rien, elle se contenterait d’être belle, maquillée, et a la mode…

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La rentrée scolaire était passé, l’uniformisation avait fait son chemin, Miharu n’avait plus ses lunettes, qui finalement lui apportait peut être un charme différent. Elle se contentait d’avoir les même réaction que tout le monde, de penser comme tout le monde, de faire souffrir, comme tout le monde… J’entends par faire souffrir, suivre la bande de filles dans laquelle elle avait facilement réussie a se joindre grâce a sa nouvelle et presque superficielle nouvelle apparence. Et suivre cette bande de demoiselle sans surplus de cervelle consistait donc a frapper les garçon les moins attirant, enfermer les filles les plus moche et excentrique, frapper les élèves ayant le moins confiance en eux ect…

Finalement elle faisait subir aux autres la même chose qu’elle avait vécue, parce que paraît il qu’on soigne le mal par le mal… Même si ce remède était un peu fort… Elle n’était même pas consciente que ce qu’elle faisait était mal, que ce qu’elle faisait c’est ce qu’elle avait vécue. Non, elle ne s’en rendait même pas compte. Elle était heureuse, puissante, et toute les autres personnes extérieure a sa bande n’avait qu’a bien se tenir.

C’est aussi aux collège qu’elle eux ses premiers petits copains. Je n’oserait dire ses premiers amours car il faut croire que le mot « amour » est un mot que Miharu a définitivement rayé de sa conscience. La pleurnicharde qu’elle était avant n’existait plus. Elle était une autre et des chagrins d’amour elle ne voulait même pas entendre parler. Elle ne voulait d’ailleurs pas que ces relations en couple avec les garçons ne durent plus d’un mois chacune, justement par peur de tomber amoureuse. Et de plus elle se faisait une joie de briser le cœur des garçon qu’elle avait presque chaque fois conquis.

Dans ses relations avec les personnes de sexe masculins, Miharu passait presque son temps a mentir, elle se laissait dire des « Je t’aime mon amour », « Je voudrais passer ma vie avec toi ». C’est d’ailleurs pourquoi ces derniers avait toujours du mal a croire a la rupture, Miharu était en faite passé du stade de la petite fille sage et fermée a celui de la salope sans cœur. Mais peut importait, puisqu’elle était heureuse. En tout cas c’est ce qu’elle disait. Mais il reste difficile de croire qu’après tout ce qu’elle a vécu et endurer elle puisse réellement être heureuse.

Ses années maternelles et primaires était d’ailleurs des sujets de conversations qu’elle avait bannis a jamais. Dés qu’on pouvait lui poser une question sur ces passages de sa vie elle les esquivait. Elle ne voulait pas en parler, c’était d’après elle la honte de sa vie… La tache sur la chronologie des étapes de sa vie.

Quand au filles qui lui faisaient offices d’amies, celles qui justement ne l’avait pas gentiment traitée pendant ces années noires, elle ne les appréciait pas plus que ça. Elle restait avec elle car elle savait qu’elles avaient bonnes réputations. Mais dans le fond, elle ne les trouvait pas plus intéressante que ça. Miharu non plus n’était plus une fille très intéressante. Avec elle les gens pouvait parler cosmétique et fringues sans problèmes mais dés qu’il s’agissait de bavarder politiques il fallait avouer que Miharu avait du mal a ouvrir la bouche pour dire quelque chose de sensé.

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Elle aborda son entrée au lycée comme elle avait abordée celle du collège. Si ce n’est a la différence qu’elle n’était plus dans la même école que ses ex pseudo amies qui avaient préféré aller dans un autres lycée. Moins sérieux, moins strict, moins réputé. Miharu aurait bien aimer faire de même mais c’est sa mère qui le lui interdit.

Nous n’avons d’ailleurs pas encore abordé la relations que le mère et la filles entretenait ensemble. C’est a dire qu’il n’y avait pas vraiment entres elles une quelconque relation. Elle ne se voyait presque jamais. La mère passant le plus clair de son temps chez l’homme qui remplaçait son regretté mari. Et quand par hasard elle se croisait, elle n’arrivait pas ou presque a communiquer. Ce qui n’empêchait pas Aiko, la mère de Miharu, de ne pas gronder sa fille. Car oui, au final, quand Aiko s’adressait a sa fille, c’était sur un ton très élevé, et la plupart du temps, ce qui se disait concernait les notes de Miharu. Qui n’était pas catastrophiques mais pas brillante non plus.

Bref, s’étant trouvé une nouvelles bande de filles dans le lycée Sirokin dont une véritable amie et ayant encore enchaîné de nombreux petits copains, Miharu va cette année passé en 3ème année. Heureuse d’être l’une des grandes du lycée.

[Je suis pas excellente pour les fiches et la fin de celle ci est assez pitoyable mais je promets de me rattraper dans les post ^o^]

Caractère: Miharu est une salope dans toute les matières. Tout d’abord elle prends un malin et immense plaisir a faire du mal aux personnes qui ne lui plaisent pas. Qu’elle n’aime pas. Et que la plupart du temps elle ne connaît pas. Peut être est-ce une façon pour elle de se venger, mais se venger sur des pauvres personnes innocentes n’est certainement pas une bonne chose. Avec les mecs avec qui elle forment un couple elle est n’est pas la même. Tendre et attentionnée, gentille et prometteuse. Puis finalement, au bout d’un mois, méchante et moqueuse. Toute ses relations sont basée sur l’hypocrisie et le mensonge. Car ces deux traits de caractères sont souvent ceux qui peuvent aider a s’intégrer ou a se faire aimer. Et si Miharu n’en abuse pas, elle sait s’en servir quand elle en a besoin. Avec ses amies elle redevient la fille fashion qui déballe des lots et des lots de connerie inintéressantes mais cela passe inaperçu puisque ses amies font la même chose qu’elle. Il n’y a qu’avec Ai, sa meilleure amie, qu’elle arrive a abordé des sujet plus profond que le maquillage, les fringue et le sexe, oui, avec Ai, elle peut aussi parlé de ce qu’elle pense de la vie comme de la mort. D’ailleurs les entendre parler de ceci frôle le comique, les deux jeunes filles se sentent intelligente quand elle disent une phrase telle que « Je pense que la vie c’est important pour tout les êtres humain, pour vivre heureux, enfin voilà… ». Non, Miharu n’est pas la personne stupide qui ne comprends rien et qui rigolent de tout comme vous avez pu vous l’imaginez en lisant cette phrase, mais il est vrai que son taux de réflexion n’est pas tant élevé que celui de Baudelaire ou encore Platon.

Miharu, pour ce qu’il en est de sa réputation dans ce lycée, est une personne très appréciée des élèves, qu’ils soit en 1ère, 2ème ou 3ème. Elle est d’ailleurs assez connu dans le lycée, tant pour son physique que pour sa capacité a parler pendant des heures d’une marque de parfum ou de vêtement…

Physique: Miharu est une très belle fille. Elle possède une longue et belle tignasse de cheveux noires, dont elle peut faire tout ce qu’elle veut. Elle passe des petites tresses au grosse couettes, des cheveux attachés au cheveux détaché, elle a déjà aussi essayé la coloration même si au final elle les préfère naturel. Son visage est tellement maquillé qu’il est parfait. Et il faut dire que Miharu sait se maquillé, elle ne met pas trois tonnes de fond de teint qui la font briller toute la journée, elle ne se fait pas non plus d’immonde pommettes rose, elle se maquille d’ailleurs tellement bien qu’on pourrait croire qu’elle est naturelle. Et même si elle est aussi très belle sans produit cosmétique, rare sont les personnes qui pourront l’admirer a ce moment la. Sauf naturellement, les jeunes hommes avec qui elle peut passer une nuit.
Elle porte des lentilles noires, donc de la même couleurs que ces yeux et que les yeux de la majorité des japonais, qui passent donc inaperçue.

Relations:

Amis -> Shibasaki Ai [si quelqu'un voudrait bien la jouer ^^’]

Famille -> Une mère ; Aiko.

Ennemis -> Sais pas ô_ô’.

Signe(s) particulier(s): Porte des lentilles.

Autres(s): Es une salope v_v.

Perso sur l'avatar: Aya Matsuura.