Nom: Takaheko
Prénom: Yumi
Surnom(s): Yuyu (pitoyable T_T)
Sexe: Feminin
Age: 15 ans
Orientation sexuelle: Hetero
Classe: Première année ^o^
Club: (facultatif) Pas pour le moment ô_ô
Histoire: " Maman,
Je t'écris, en ayant l'impression d'écrire a une inconnue. J'avais 2 ans et demi, cela fait 13 ans, 13 ans... Pourtant même après tout ce temps je n'arrive pas a comprendre. Pourquoi lorsque nous sommes rentrés a la maison, moi et papa, nous t'avons trouvée pendu a ce balcon, mais pourquoi maman ? Pourquoi ? Toi qui riait toujours de tout, toi qui était si gentille avec tout le monde, tout le temps joyeuse, heureuse, presque trop, pourquoi nous t'avons trouvée, le corps inerte, sans lettre, sans mots d'au revoir, sans rien.. ? Alors qu'a ce moment la tu était morte, tes lèvres dessinaient encore sur ton visage un sourire, un sourire inexplicable, vide de sens... Pourquoi souriait tu ? Je sais que jamais je ne recevrais de réponse a cette lettre, mais comprends moi, j'ai besoin de l'écrire, de tout te dire maman, j'en ai besoin... j'ai attendu longtemps avant cela, c'est la mort de papa, son suicide, la semaine dernière, qui ma finalement décidée. D'ailleurs papa s'est tuée dans le seul but de te retrouver, pour lui aussi avoir ses réponses... Je ne ferais pas comme lui, jamais je ne me tuerait, tu étais sa raison de vivre, je le comprends, la mienne c'est un garçon.
Et puis de toute façon je serais incapable de perdre ma vie pour une mère qui m'a lâchement abandonné, tu n'as jamais pensé que l'absence d'un lettre a tes coté le jour de ta mort c'était horrible. Je sais que la vie c'est pas comme un film, mais pourquoi il n'y avait pas juste deux mots, sur un bout de papier, marquer a l'arrache même, juste un 'Je vous aimes", c'est vrai, ça fait trois... Mais bon sang maman ? Tu n'étais pourtant pas stupide ? Tu le savais que ta mort nous ferais souffrir, elle a poussé papa a se suicidé, huit en plus tard, il n'a pas réussi a refaire sa vie, il t'aimait. Il t'aimait plus que tout. Et moi je l'aimait aussi, je l'aimait... Naturellement je supposes que de cela tu t'en fous... Comme tu doit aussi te foutre de moi, alors que moi, malgré ta lâcheté, je t'aime toujours.
Je n'avais pourtant que deux ans, mais tu étais le genre de personne que l'on ne peut pas oublié. Même si a cet âge la je n'ai pas vraiment réalisé.. Même si a cet âge la j'ai pleuré ma "maman" et non la superbe personne que tu étais... Superbe personne qui a tout de même réussi a me gâcher une partie de mon enfance... Je faisais le deuil, seule, dans la cour de récrée. Il y avait une autre petite fille dans mon cas, Nana, qui s'asseyait, je me souviens, dans une brouette, en faisant semblant de tenir un volant imaginaire, elle m'intriguait beaucoup, c'est pourquoi un jour je suis allée lui demander ce qu'elle faisait, tout les jours dans cette même brouette, elle ma regardé, et le plus sérieusement possible elle m'a répondu "Je vais chercher maman, dans le ciel!". Je n'avais a cet âge la que 3 ans, pas de maman, et c'est pour ca que je l'est compris. Je l'avais fixée quelques secondes, puis, en hochant fermement la tête, avait finalement fait demi tour. Elle et moi nous aurions pu être amies, je crois que nous étions le même style de personne, nous avions certainement vécu la même chose, mais être unis par le malheur ne m'intéressait pas. Je préférait parler avec des gens joyeux et heureux, qui pouvait arriver a me remonter le moral, juste quelques secondes. Même si au final, je ne parlait a personne.
Sauf a papa, en qui je serait reconnaissante toute ta vie. Je savais qu'il avait toujours été très amoureux de toi, tu le fascinais même, alors même si ta mort l'avait bouleversé a jamais, avec moi il essayait toujours d'être positif. Il échouait souvent, car c'est dur d'être positif et malheureux en même temps. Mais il essayait, je crois qu'il t'imitait un peu, il essayait de combler ton absence, il n'y arrivait pas totalement, mais j'essayais a l'époque de lui faire croire que si. Je l'aimais trop, et je savais que si je lui montrait que tu me manquait énormément il n'aurait que pu être plus malheureux.
Cependant quand j'ai grandit, je dirait a partir de mes 8 ans, nous avons réussi a parler un peu plus tout les deux, de toi notamment. Ce sujet avait un peu été comme tabou jusqu'alors et cela nous soulageait d'enfin l'aborder. Il me sortait souvent vos albums photos, ou étaient logés tous les souvenirs de vos voyages, de vos années passées ensemble, avant ma naissance. Les albums consacrés a ma naissance et a moi et vous deux, je les gardait bien précieusement dans ma chambre, ils m'étaient chers. Papa me disait que tu m'avait toujours aimer, j'essayait de le croire, mais tu sais, quand ta mère se suicide sans te laisser quoi que ce soit tu as du mal a croire ses mots la....
A cet âge la justement, a 8 ans, mes instituteurs félicitait mon père, car il avait fait une fille très intelligente. Ca me faisait plaisir, je comblait mon manque de relations sociales par du travail, presque acharné. Oui, car je n'avait pas ce que l'on appelle des facilités au travail. Pas du tout même, je passais des heures a bosser, et sans ses heures la j'aurait été une véritable nullité. Et puis cela rendait aussi mon père très heureux, il était très fier de moi et n'hésitait pas a me le faire savoir. Il disait que je te ressemblait beaucoup, ce que je ne souhaitait pas forcement. Toujours est il que malgré mes bons résultats et les félicitations de mon père, je n'était pas ce que l'on pouvait appelé une "fille heureuse". Je n'avait pas d'amies. Les autres filles ne me méprisait pourtant pas le moins du monde, elles avaient même tenté plusieurs fois de me parler, et de sympathiser, mais, même si ça n'était en réalité pas le cas, j'étais persuadée qu'elle n'avait pour moi que de la pitié... En fait oui, j'avais l'impression que tout le monde avait pitié de moi. Comme s'il était écrit sur mon front " maman s'est suicidée, je suis malheureuse". Car au final peu de personne avait entendu parlé de ton suicide a l'école. C'était une espèce de parano.
Paranoïa qui me forçait a me renfermer de plus en plus sur moi même. Ce qui poussa mon institutrice de CM2 a convoqué mon père, qui jusque la ne se doutait de rien. je ne voulais pas que papa s'imagine que je n'étais pas si heureuse que je le laissait paraître, parce que me voir souriante l'aidait un peu a vivre lui aussi. Il allait un peu mieux, mais un peu seulement. Toujours est il que quand la maîtresse lui parla de ceci, il plongea directement dans la dépression. Pas seulement parce que sa fille n'avait pas d'amies, mais avant tout parce qu'il comprenait qu'elle était aussi malheureuse que lui l'était, qu'elle n'arrivait pas elle non plus a reconstruire sa vie. Il essaya donc de lui en parler, de lui dire qu'il fallait qu'elle se mélange aux autres filles de son âge, même si il savait qu'il n'était pas franchement un excellent exemple.
Lors de mon entrée au collège j'étais décidée a appliquer ses conseils, mais les filles n'étaient plus les même qu'en primaire, elles étaient plus moqueuse, et même si je n'étais pas la cible de leur moquerie, je les évitaient, je ne voulais pas devenir comme elle... jamais... Cependant il y eu quelque chose qui en moi changea dés lors de mon entrée au collège. Ou plutôt dés que j'aperçu ce garçon. Centre d'attention de toute les filles du collège, desquelles je me sentait pourtant si différente. Ce garçon je crois que ce que j'éprouvait envers lui dés que je l'aperçut c'est de l'amour... Il avait une petite amie, une fille au moins autant belle que lui n'était beau, je l'admirais cette fille. Elle avait une assurance que j'appréciais beaucoup, et un visage tellement fin et bien dessiné. C'est pour cela que plutôt que d'être jalouse de sa relation avec Hiroshi, j'étais heureuse pour eux. Ils avaient l'air de s'aimer, enfin, j'entendait souvent ses amies raconter qu'ils se voyaient tout le temps, le soir, après les cours.
Je n'arrivait pas a dire qui de Hiroshi ou elle avait le plus de chances. Pour moi ils étaient un couple parfait... Finalement l'amour que je vouait a Hiroshi me permis de faire la connaissance et d'apprécier beaucoup d'autres filles, toutes amoureuses de ce même garçon, ou presque. Elle me firent d'ailleurs comprendre que toutes les collégiennes n'étaient pas les mêmes, elles ne pratiquaient pas ce que l'on avait nommé l'"ijime". Elles étaient même très respectueuse, et très gentilles. J'en avaient d'ailleurs présentées quelques unes a mon père, qui, malgré le souvenir que je commençais a garder sur mon visage, n'arriva plus a se relevé et arrêter de déprimer. Je comprenais que je ne pouvais plus rien pour lui, et je préférais finalement commencer a pleinement vivre ma vie que de m'en soucier. Comprenant que la seule issue qu'il lui restait pour ne plus être malheureux c'était le suicide, la mort...
Mes notes quand a elle, étaient toujours très bonne. Elles ne comblaient plus rien mais restaient excellente, je redevenais enfin heureuse. J'avais des amies que j'aimait énormément, malgré les quelques disputes que nous avions. En même temps quand on aime tous le même garçon, il est presque obligatoire qu'il y est des disputes. Et puis nous nous réconcilions a chaque fois... C'est elles qui m'apprirent un jour que lui et la fille avaient rompus, cassé... En fait, je me rendit compte que cela me fit plaisir... J'avais certainement grandis et pris en maturité...
Quelques mois plus tard il se passa finalement ce que jamais je n'aurais imaginé. Hiroshi m'adressa la parole. Certes, c'était pour un problème de cartouche d'encre -_-", mais c'était pour mois une première... 3 mois plus tard nous étions finalement ensemble. J'étais et je suis toujours très amoureuse de lui, car je suis toujours avec lui. Je l'aime, je l'aime plus que jamais je ne t'ai aimé maman. Saches le, dorénavant je t'ai remplacé, Hiroshi est la seule personne qui est maintenant une réelle place dans mon cœurs, avec papa naturellement. Même si papa a décidé d'aller te retrouvé quand il a compris que j'étais comblé et heureuse. Je n'avais jamais songé avant que l'amour pouvait tout changé dans une vie...
A la rentrée d'ailleurs nous allons vivre ensemble, enfin... Je vais vivre chez lui, j'ai un peu peur de le déranger. Tu sais on ne parle pas beaucoup. En fait je crois que tout ce que l'on sais l'un de l'autre c'est grâce aux autres, je suis au courant qu'il a perdu sa mère et que son père est dans un hôpital psychiatrique seulement grâce a des échos. Et il me semble que lui sait que vous êtes tout les deux morts grâce a ses amis, ou je ne sais pas... C'est vrai qu'on ne peut pas vraiment dire que nos conversations sont animées, j'aimerait beaucoup parler avec lui, mais j'ai cru entendre qu'il n'aimait pas ça... Alors j'engage la conversation seulement de temps en temps. Et ça me convient parfaitement. car de toute façon, même sans parler ou communiquer, je pourrais passer tout mon temps avec lui, a le regarder, fascinée... Il est vrai qu'il ne m'a jamais dit je t'aime, et qu'il a une réputation de tombeur hypocrite, mais je m'en fiche. Je l'aime, je l'aime tellement... Seule sa présence a mes cotés compte. Combien de temps ça durera je ne sais pas, je ne veux pas le savoir, j'espère secrètement que ça durera toujours, mais c'est a lui de décider...
Passe le bonjour a papa de ma part...
Yumi."
Caractère: Yumi est une jeune fille très réservée, parfois peut être un peu trop. Facilement impressionnée par des chose simple, elle est assez spontanée et naturelle, en fait, elle n'essaye pas de se faire passer pour ce qu'elle n'est pas, elle ne dira jamais a quelqu’un qu'elle est charismatique. Elle est une fille très simple, qui n'a pas toujours eu la vie bien rose mais ceci l'importe peu, car ce qu'elle est avant tout Yumi, c'est amoureuse [de ce sale connard de Hiroshi è__é], amoureuse et forcement un peu naïve; quoi qu'elle n'a jamais dit qu'il l'aimait, comme il ne le lui a jamais dit non plus.
Elle aime beaucoup faire plaisir aux gens, leur donner des preuves d'affection, des petits cadeaux, comme si elle avait toujours peur de les perdre, comme elle a perdu ses parents. Elle a besoin d'être entourée, d'avoir un entourage...
Physique: Yumi est une très jolie fille, même si elle n'en est pas vraiment consciente En tout cas elle ne fait pas grand chose pour se mettre en valeur. Elle s'habille a sa façon, seulement avec ce qui lui plait. Il est vrai en même temps, qu'elle a les moyens d'avoir son propre style, étant la seule héritière des Takaheko. Mais elle n'est pas dépensière pour autant ^o^.
Son visage est presque poupon, enfantin, pas vraiment marqué par ce qu'elle a vécu. Elle est assez souriante aujourd’hui, contrairement a avant... Et en grande partie grâce a Hiroshi [han mais la pauvreuuh ;__; Hiroshi T_T].
Relations:
Amis -> Petite amie de Hiroshi T_T!
Famille -> A plus rien >_<'
Ennemis -> Personne ô_ô
Signe(s) particulier(s): Nan ^o^
Autres(s): Riche ^o^
Perso sur l'avatar: Mai Kuraki.
PS : Est-ce que mon avatar s'affiche sur vos ordi oO ? Je vois un crois rouge moi T_T.
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Dim 3 Sep - 10:29
